Satisfaction. C’est le sentiment général exprimé par les élus après que Bruno Rossetti, l’expert envoyé par le ministère de la Santé, pour étudier l’offre de santé hospitalière à Cosne, leur a présenté son rapport. Après de longs mois de combat, à la suite de la fermeture de la clinique, il semblerait que l’État tende enfin l’oreille.
Une des batailles de Perrine Goulet, qui est prête à travailler sur « des partenariats avec l’université de Dijon, mais pas seulement, pour recruter des médecins. Aussi avec les universités de Tours, Clermont, Paris. Dans la capitale, les jeunes ont du mal à trouver des stages. Cela fait partie de nos compétences de mettre en place ces protocoles. Car si l’établissement tient la route, les médecins auront envie de venir. »