« Nous avons des moyens ultra-faibles mais nous remplissons le cahier des charges avec les maternités », appuie le gynécologue obstétricien. « On manque de moyens matériels. Il faudrait aussi du temps médical. » « J’ai entendu », lui a rétorqué Perrine Goulet. « On va se retrouver avec l’Agence régionale de santé (ARS) pour voir ce qu’il est possible de faire pour que ce centre de périnatalié s’ancre sur le territoire. »