NEVERS
Considérer la langue des signes
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Considérer la langue des signes comme une langue étrangère de type anglais ou espagnol et la proposer au même titre qu’une langue étrangère pour la démocratiser.
Être des citoyens à part entière
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Permettre l’accès à l’information en rendant obligatoire le doublage du journal de 20h en langue des signes ;
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Avoir dans les administrations, les hôpitaux et tous les services aux publics des personnes capables d’échanger en langue des signes ;
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Obliger les responsables politiques, lors des discours, à avoir un interprète.
L’éducation
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Respecter l’enfant sourd dans sa surdité ne pas vouloir à tout prix le considérer ou le voir comme un enfant à potentiel entendant et donc : nécessité de lui enseigner la langue des signes dès la maternelle, ne pas vouloir l’inclusion à tout prix ;
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Création des classes bilingues (langue des signes à l’oral et français à l’écrit) ;
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Proposer des formations pour les AVS qui ne sont pas adaptés à la surdité
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Enseigner la langue des signes à tous les professeurs afin qu’ils puisse s’adapter aux enfants
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Présence d’interprètes dans les écoles.
L’autonomie
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L’AAH n’est pas la solution « elle nous enferme dans notre situation d’handicapé »
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Obliger les entreprises à accueillir les personnes sourdes.
Accompagnement
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A la naissance ou à la détection d’un enfant sourd il faut accompagner les parents, les orienter, leur permettre d’apprendre la langue des signes gratuitement.
Culture
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Rendre la culture accessible aux personnes sourdes, par exemple :
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sous titrer les films au cinéma, à la télévision y compris les dessins animés pour les enfants.
Transparence
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Intégrer des personnes sourdes dans les directions d’établissements pour personnes sourdes ;
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Uniformiser les prix de journée pour les établissements sourds afin
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qu’ils soient identiques partout en France.
