✔ Pour lutter contre la pénurie de professionnels de santé et augmenter de 20% par an le nombre de médecins formés, le projet de loi visera à supprimer le numerus clausus et la première année commune d’études en santé.
❌Cela ne signifiera en aucun cas la fin de la sélection en études de santé.
✔ Déjà expérimentée avec succès dans la première circonscription de la Nièvre en cardiologie et en dermatologie, le télé soins et de la e-prescription seront développés pour faciliter l’accès à un professionnel de santé dans des zones en désertification médicale.
❌ Cela n’est ni une « économie sur le dos du virtuel » ni la « porte ouverte à la fuite des données personnelles »
✔Avec cette loi, la Nièvre verra aussi plusieurs de ses hôpitaux labellisés « hôpitaux de proximité » pour en faire des structures adaptées aux soins du quotidien et aux nouveaux enjeux démographiques.
✔Le département bénéficiera également de la création des projets territoriaux de santé qui permettront aux acteurs de santé de déployer des actions mieux coordonnées, plus lisibles et adaptées aux besoins de santé spécifiques du département.
✔Pour plus d’efficacité et de simplification, la mise en place des groupements hospitaliers de territoire assurera une meilleure coordination au sein des établissements publics hospitaliers par la mutualisation d’un certain nombre de services.
❌ Il n’y aura pas de fermetures d’hôpitaux
En parallèle de la loi, l’État s’est déjà engagé pour la Nièvre en permettant l’installation d’un hélicoptère santé à l’hôpital de Nevers, en soutenant le pôle d’excellence de développement de l’innovation technologique au service du champ social et médico-social et en accompagnant la transformation de la Maison de Santé de Garchizy en Maison de Santé Pluridisciplinaire Universitaire